Par décision de notre Assemblée Générale Extraordinaire tenue le 29 juin dans nos locaux d'Arles, nous avons voté la transformation de l'association Chleaué en Société Coopérative d'Intérêt Collectif par Actions Simplifiée (SCIC SAS) à capital variable.
Chleaué a bénéficié du soutien du Conseil Régional de Provence Alpes Côte d'Azur dans le cadre du soutien à l'émergence de projets d'Economie Sociale et Solidaire (ESS). Une subvention de 25 000 € sera prochainement accordée à notre coopérative pour œuvrer à la mutualisation inter-collectivités de bonnes pratiques en assainissement visant à optimiser le fonctionnement des infrastructures et à réduire leur impact sur l'environnement.
Un fonds d'amorçage d'un montant de 10 000 € a été accordé à Chleaué par l'organisme régional ESIA pour permettre le développement de L'association et son développement sous la forme coopérative. Plus d'info sur: http://www.esia.org/fr/outils/cama.php
Soutenez-nous en votant pour notre projet sur le site de Lafabrique AVIVA!
Voici la procédure pour voter:
1- cliquez sur le lien suivant: http://www.aviva.fr/assurances/assureur-aviva/lafabrique
2- cliquez sur le bouton "voter"
3- inscrivez-vous en cliquant sur "pas encore inscrit" en haut à droite de la page, sous "se connecter"
4- vous recevrez un message de confirmation sur votre adresse mail à ce sujet
5- suivez les indications du mail de confirmation
6- une fois sur le site d'Aviva, descendez un peu sur la page jusqu'à "Cherchez un projet"
7- tapez dans la première case "Chleaué" et vous tomberez sur le projet
Merci sincèrement à tous pour votre soutien!!!
Organisateurs : ACCM et Resspa Le 2 novembre 2015 de 10h à 18h - Palais des congrès d'Arles
Gratuit et ouvert à tous.
Circuits-courts, insertion, mobilité, etc. Les organisations de l’ESS du territoire vous invitent à venir découvrir ce qu’elles font au quotidien au service du territoire et de ses habitants.
Objet : cet arrêté remplace l'arrêté du 22 juin 2007 relatif aux prescriptions techniques, aux modalités de surveillance et au contrôle des installations d'assainissement collectif et des installations d'assainissement non collectif de capacité nominale supérieure à 1,2 kg/j de DBO5. Il fixe les prescriptions techniques s'appliquant aux collectivités afin qu'elles mettent en œuvre une gestion rigoureuse et pragmatique du patrimoine de l'assainissement, conforme aux enjeux de la directive relative au traitement des eaux résiduaires urbaines, de la directive cadre sur l'eau, de la directive cadre stratégie milieu marin, la directive concernant la gestion de la qualité des eaux de baignade et la directive relative à la qualité requise des eaux conchylicoles. Il fixe des prescriptions techniques similaires s'appliquant aux maîtres d'ouvrage des installations d'assainissement non collectif recevant une charge brute de pollution organique supérieure à 1,2 kg/j de DBO5.
Le texte de l'Arrêté sur Légifrance:
http://www.legifrance.gouv.fr/eli/arrete/2015/7/21/DEVL1429608A/jo
L'ordre du jour concerne les points suivants:
Le nouvel Arrêté précise les prescriptions techniques spécifiques à mettre en œuvre pour l'exploitation des systèmes d'irrigation et d'arrosage par aspersion. Il complète la liste des éléments requis pour l'établissement de l'Arrêté préfectoral autorisant l'utilisation des eaux usées traitées:
Pour en savoir plus, vous trouverez ci-après le lien vers le texte intégral:
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000029186641&dateTexte=&categorieLien=id
Publié le 05/03/2015 • Mis à jour le 06/03/2015 • Par Laurence Madoui • dans : A la une, actus experts technique, France
L'Assemblée nationale a adopté, le 4 mars, un amendement gouvernemental à la loi NOTRe, faisant de la gestion de l’eau et de l’assainissement des compétences intercommunales.
Cet article est paru dans Le Club Technique
Les compétences eau et assainissement devront être transférées des communes aux établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre d’ici le 31 décembre 2017, aux termes d’un amendement gouvernemental à la loi sur la Nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) adopté le 4 mars par l’Assemblée nationale.
« L’organisation enchevêtrée de services communaux, intercommunaux et de syndicats techniques, parfois très anciens, ne coïncide pas nécessairement avec les bassins de vie ou les bassins hydrographiques », a fait valoir le gouvernement. L’attribution obligatoire de la compétence aux EPCI n’interdira toutefois pas son transfert ultérieur à des syndicats mixtes préexistants, selon l’exécutif.
Alléger le fonctionnement, dynamiser l’investissement - La Cour des comptes et le Centre d’analyse stratégique ont déjà pointé la surabondance des services d’eau et d’assainissement – 35 000, un émiettement record en Europe –, qui porte atteinte à leur efficacité. Le regroupement des services est jugé comme un facteur d’optimisation économique, à l’heure où les volumes d’eau distribués (et donc les recettes) diminuent quand les besoins d’investissement (entretien et remplacement des réseaux notamment) augmentent.
Conséquence de la pléthore actuelle de services : « Des surcoûts de fonctionnement et, surtout, une absence de vision
dynamique de l’investissement, estime Jean Launay, député (PS) et président du Comité national de l’eau. Des enjeux tels que le renouvellement du patrimoine ou la protection des captages sont à
traiter à une maille plus grande. S’adosser aux EPCI est un premier pas vers la rationalisation. A titre personnel, je jugerais même utile que l’on passe à la maille départementale », indique
l’élu du Lot – département où interviennent aujourd’hui sur l’eau et l’assainissement une centaine de syndicats, pour une population de 174 500 habitants.
A noter qu’une mesure similaire a été adoptée pour la gestion des déchets ménagers, que les communes ont déjà déléguée à 99 %.
Le lien correspondant sera mis en ligne prochainement